6 avril : Dong Van - Ha Giang. Environ comme à l’aller
| Une petite fille timide nous dit au revoir, les jeans mouillés ont été remballés et, bien sûr, le crachin est présent ! | ![]() |
| C’était un rocher ou un autobus (ils roulent comme des dingues !). Pas les rochers ! |
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| Je suis à chaque fois surpris quand je vois là où travaillent ces braves paysans. | ![]() ![]() |
| Au bout du chemin, peut être à 10 km, il y a l’école ? C’est possible, c’est le matin. |
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| Une petite fille triste ... | ![]() |
| Parfois, ça dérange quand on regarde en bas. Heureusement, les routes sont bonnes ! |
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| Ce laboureur a bien raison : une petite pipe, ça détend ! | ![]() |
| C’est pas de la rizière, c’est de la canne à sucre. | ![]() |
| Arrivons à Meo Vac (c’est écrit dessus). | ![]() |
| La population nous accueille avec effusion. | ![]() |
| Visite du monument aux morts, | ![]() |
| et bien sûr, du marché. Ce sont mes moustaches que regarde la maraîchère. |
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| Nous retrouvons Mêh-Dor, mais cette fois en pièces détachées. | ![]() |
| Ils leur font tirer la langue, ça fait plus coquin ! | ![]() |
| Nam nous a laissés pour aller déjeuner. Nous ferons donc un tour dans la ville en l’attendant. | ![]() |
| L’entrée du dispensaire : il y en a un dans pratiquement chaque village. | ![]() |
| Y a même des cacas sur les trucs du Parti ! | ![]() |
| Le restau du marché, sous la fresque. Mais à quoi servent les pierres ? |
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| Une partie du parc Veolia. | ![]() |
| Vue sur le stade Karl Marx. | ![]() |
| J’ai pris ces deux appareils pour des essoreuses à linge ; nous verrons qu’elles ont un autre usage... | ![]() |
| Vu devant un atelier de métallerie. | ![]() |
| Nos pas nous conduisent devant l’école. | ![]() |
| Sur le fronton de chaque école, on voit l’oncle Hô remettant le Foulard du Mérite à une petite fille. | ![]() |
| C’est la sortie, ce fier papa attend sa fifille. | |
| Nous revenons vers le marché. Nam, qui s’inquiétait, était à notre recherche. |
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| Des petites filles H’Mong. | |
| Un buffle au travail. | |
| Et retour à Ha Giang. | |
| Au bord du fleuve, il y a un truc intéressant : une roue à eau déverse dans un tube, de bambou bien sûr. | |
| Le tube remplit une cavité. Le poids de l’eau dans la cavité fait basculer vers le haut l’arbre porte-pilon. En basculant, la cavité se vide de son eau et le pilon retombe dans le mortier en écrasant le grain. |
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| Excellent repas à l’hôtel. Nous avons le même bungalow, le sol est très humide et le jean est toujours mouillé ! |
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| Les commentaires de la patronne : |
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7 avril : Ha Giang - Bac Ha. Environ 200 km Nous prenons notre petit déjeuner au restaurant de l’hôtel (oeufs, vaskiwi), voyons 2 bonshommes qui transportent sur un bambou un cochon qui couine
gaiement. |
| Bonne route sur quelques kilomètres, puis boue immonde sur un tronçon interminable. | ![]() |
| Des photos de boue, je n’en mettrai plus non plus. (On va boucler le site ’achement vite !). |
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| On s’arrête pour acheter 2 bricoles et se fumer une pipe/clope. Elle était pourtant bien propre hier soir, la caisse de Nam ! |
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| Pendant qu’Andrea fait ses emplettes, le patron nous offre le thé. | |
| L’approvisionnement d’un chantier... | |
| Quelques rencontres : des chevaux, | |
| un buffle, | |
| des enfants friands de bonbons. | |
| À l’entrée de Bac Ha se trouve le Massa Pneus local. “Mâ Sa” fait local aussi ! |
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| Nous nous posons à l’hôtel tandis que gueulent les haut-parleurs. | |
| La télécommande de la clim n’est pas d’un maniement des plus aisés. Et on voudrait bien qu’elle tourne, la clim, car on a toujours un jean à sécher ! |
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| Les robinets de la douche : il ne faut pas les tripoter les mains mouillées et du savon dans les yeux car il y a risque de claudefrançoision. | |
| Pendant que souffle la clim, visite du palais de Hoang Yen Chao, curieux mélange de styles asiatique et occidental. | |
| Un peu délabré, aucun panneau explicatif. Les salles ouvertes renferment un mini-musée des costumes régionaux. |
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| Hoang Yen Chao, père de Hoang an Tuong, allié des colonialistes français, était Tay. | |
| À la boutique où nous avons acheté un collier d’hématite, Andrea n’est pas arrivée à expliquer à la madame qu’elle ne pouvait porter à Cannes le costume H’Mong, ni Zao ! | ![]() |
| À la sortie, avons retrouvé Nam et pris la route de la montagne pour visite de
villages. Le chemin est juste assez large pour le 4x4, on ne voit pas à 5 mètres : faisons demi-tour et nous voilà de nouveau centre ville. |
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| Bien entendu, le marché. | |
| Excellent repas à l’hôtel. On se serait cru au mess de garnison à l’époque
coloniale : 100% de francophones. Le guide légèrement bourré d’un couple de belges, fait un esclandre qui s’arrange grâce à l’intervention de Minh (avec qui nous aurions dû voyager). Sortons en ville prendre le café qui est bon et bainmarisé Le café ici est délicieux : c’est du 100% robusta. Il est fort, profondément noir et délicieusement amer. Un article intéressant sur le café vietnamien : http://lexpansion.lexpress.fr/economie/vietnam-l-amere-revolution-du-cafe_18777.html Note du Ouebemasteur : le lien étant brisé, il vous est proposé cet article. |
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| Ce soir, Nam a lavé sa voiture ! Nous la retrouvons bien propre sur le parking de l’hôtel d’en face. |
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| Et aussi, le guide bourré d’hier soir qui a cassé la télé de sa chambre et ne voulait
pas payer les dégâts. Il a failli se faire casser quelques os ! |
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Date de création : 09/05/2011 à 19:22 - Dernière modification : 11/05/2011 à 18:02